Formation gratuite en marketing digital, fiscalité et comptabilité : le MOPA renforce les compétences de la jeunesse gabonaise

Le Mouvement des Oliguistes Patriotes (MOPA) a clôturé ce jeudi 10 avril une formation gratuite de quatre jours en marketing digital, fiscalité salariale et comptabilité. Cette initiative s’inscrit dans une série d’actions menées par le mouvement en soutien à la candidature présidentielle de Brice Clotaire Oligui Nguema, après des campagnes médicales et d’assainissement sur l’ensemble du territoire national.

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Une formation tripartite aux multiples bénéfices

 

Présidée par Stakhys Nzé, secrétaire général du MOPA, la cérémonie de clôture a été marquée par la remise de parchemins aux participants. Cette formation visait à fournir des connaissances fondamentales accessibles tant aux débutants qu’aux personnes ayant déjà une certaine expérience dans ces domaines.

 

« Il s’agit tout simplement de pouvoir donner des revenus aux apprenants, personnes qui ont au moins une certaine connaissance du marketing digital et d’autres non. Ça permet de pouvoir se projeter afin de pouvoir réaliser un progrès en ligne », a expliqué Théo Ibouanga, formateur en marketing digital.

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La formation a notamment permis aux participants d’acquérir des compétences essentielles pour générer des revenus en ligne, de développer une compréhension approfondie des stratégies de marketing digital et de poser les bases solides nécessaires à une progression dans ce domaine en pleine expansion.

 

Une initiative en phase avec la vision présidentielle

 

Nzé Rakolemo, formateur en fiscalité des salaires, a souligné que ces formations répondaient à une volonté de rapprochement entre le candidat Oligui Nguema et la population, notamment par la création d’emplois. « L’idée pour nous derrière, c’est de soutenir le candidat Brice Clotaire Oligui Nguema pour être plus proche de la population. Alors, la fiscalité des salaires consiste à décortiquer l’ensemble des indemnités et primes qui composent le budget de salaire dans le secteur privé. »

 

Des formations appelées à se poursuivre

 

Lors de son allocution, Stakhys Nzé a annoncé que les formations gratuites seraient renouvelées tout au long du mois de juin. « La semaine prochaine, environ 20 heures de cours seront proposées du lundi au samedi, suivies de séances d’exercices chaque samedi », a-t-il précisé.

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Le secrétaire général du MOPA a insisté sur l’importance de la connaissance : « La connaissance, c’est trop plus que l’argent. C’est vrai que c’est en partie de la connaissance qu’on a l’argent. C’est en partie des compétences qu’on a de l’argent. »

 

Pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances, des sessions supplémentaires seront organisées, bien que certaines formations ne puissent pas être suivies simultanément en raison des contraintes horaires. Les cours seront dispensés par tranches de 30 minutes, permettant aux participants de suivre plusieurs formations dans la journée. Si le coût annoncé de 50 000 francs pour ces formations complémentaires peut sembler significatif, il reste, selon les organisateurs, dérisoire au regard de la valeur des connaissances transmises.

 

Des participants satisfaits

 

Françoise, l’une des bénéficiaires de la formation en marketing, n’a pas caché sa satisfaction : « J’ai été beaucoup enrichie dans un univers juste en quatre jours. J’ai beaucoup appris sur le marketing et j’ai vraiment envie de prolonger justement cette expérience-là parce que ça m’a ouvert les yeux sur énormément de choses autour de moi et sur le contenu. »

 

Elle a particulièrement apprécié la gratuité de la formation, qui favorise l’inclusivité en permettant à ceux qui n’ont pas les moyens financiers de participer. La simplicité et l’accessibilité des échanges avec les formateurs ont également été soulignées comme des points forts de cette initiative.

 

À travers ces formations, le MOPA réaffirme son engagement à accompagner la vision du chef de l’État en matière de développement des compétences et d’autonomisation de la jeunesse gabonaise, un élément clé pour l’avenir économique du pays.

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