A sa sortie du gouvernement, Jean Pierre Oyiba avait pris le soin de réunir sa famille pour lui ouvrir son grand coeur. » En me virant du gouvernement Ali croyait me faire du mal, mais il s’est trompé sur mon compte car aujourd’hui, je suis suffisamment riche et à l’abris du besoin pour aller vivre où je veux. Mon seul regret c’est vous ma famille. Si vous n’ étiez là, je me serais déjà installé tranquillement en France comme Jean Pierre Lemboumba Lepandou », avait-il souligné.
L’opinion se demande quel est le véritable poids politique d’Oyiba à Franceville?
JP se farait passer pour l’homme providentielle, incontournable aux allures de prince à Franceville, voire l’homme de la situation dans sa ville natale. Alors qu’en réalité il ne pèse que le poids d’une plume d’oie. Les populations et ses détracteurs sont unanimes là dessus.
l’homme n’a rien fait pour son coin en terme de développement. Les faits parlent d’eux-mêmes. Il se contente de vendre le vent aux populations , comme tout flatteur qui vit au dépends de celui qui l’écoute.
L’ancien ministre ne rend service qu’ aux membres de sa famille.
A l’approche de chaque élection, le natif de Masuku se fait tout petit quand il s’agit de demander aux jeunes du 1er arrondissement de Franveville, leur suffrage.
Élu , au lieu d’aider les enfants qu’il a vu grandir, il les envoi en prison pour les remercier. Il excellerait dans l’intrigue.
Les femmes, sont les principales bénéficiaires de sa générosité. Il se moque d’ elles en leur remettant un morceau de pagne et deux billets de 1000 F, lors des joutes électorales.
On se souvient qu’il y a quelques années, effets de mode mode oblige, JP a créé une association bidon qu’il avait dénommée « crédit », avec pour unique sortie, la remise d’une somme de 50000FCFA à 10 vendeuses du principal marché de la ville de Savorgnan de Brazza. Après ca, on n’a plus jamais entendu parler de ce mouvement asssociatif.
Pendant les 11 ans passé a l’Oprag, quel a été son apport au bénéfice du développement et l’emacipation des altogoveens ? Rien neni. Les populations s’interrogent.
S’appuyant sur Joséphine Kama, mère d’Ali Bongo, l’élu du premier arrondissement de la deuxième province du pays se cache derrière son petit doigt.
Son manque d’actions reelles a d’ailleurs, son mentor a l’ interroger sur ses réalisations à Franceville..
Coincé JP, n’avait pas pu répondre à cette Joséphine Kama.
Constat fait, certains fils de la province ont fait la solidarité leur cheval de bataille, pendant que Jean Pierre Oyiba dort sur ses lauriers.
Idriss Ngari, un digne fils de la province, pour ne citer que ce dernier a reussi le pari de transformer son village Ngouoni en petit paradis.
D’ailleurs, à l’epoque où il trônait aux TP, il mis sur pieds l’association » Tsoumouou ». Cette plateforme associative lui permis de déceler, former et caser des jeunes frères de la contrée au sein de l’administration publique et au privé.
Les jeunes de sa localité lui sont très reconnaissants. Plus encore, lors de son passage à la tête de l’ armée, le Général Tonnerre avait même fait iincorporer des chasseurs de son village au sein des forces de défense.
Ministre des Travaux publics, Oyiba n’a pas daigné refectionner une seule des artères de Franceville, alors qu’il beneficiait des largesse de la famille Bongo. L’homme rêvait de devenir premier vice-président de l’Assemblée Nationale. Il s’est battu corps et âme pour être èlu député afin d’échapper à l’opération Mamba. Voulant recouper ces informations, JP, nous a rabroué.
Nous y reviendrons…