Le groupe des 10 dénommée « Appel à Agir », a déposé jeudi 28 mars 2019, par l’entremise de leurs conseils, une demande en référé devant le président du tribunal de Libreville, afin que soit ordonnée une expertise médicale sur la personne du président Ali Bongo.Ondimba, selon le communiqué dont nous avons obtenu copie.
« Ainsi que nous l’avions annoncé le samedi 23 mars dernier, nous venons de déposer ce jour;
Depuis notre « appel à Agir » du 28 février 2019, nous avons demandé la constatation de la vacance du pouvoir. Nous avons affirmé qu’Ali Bongo n’est plus en capacité d’assumer les charges inhérentes à la fonction de président de la République. Nous n’avons jamais demandé une preuve de vie », a indiqué le communiqué.
Puis d’ajouter que : » ceux qui ont décidé du retour d’Ali Bongo prétendaient clore le débat sur la vacance du pouvoir. C’est le contraire qui s’est produit. À l’évidence, Ali Bongo n’est plus en capacité de remplir les charges de la fonction de président de la République.
Nous ne cesserons jamais de le dire, notre démarche est citoyenne, légaliste et républicaine. C’est donc en vertu des lois de la République, auxquelles chaque citoyen est soumis, quel quesoit son statut ou son rang, que nous avons saisi la justice.
Nous l’avons fait en conscience et certains de notre bon droit. Au juge que nous venons de saisir et qui rend la justice au nom du peuple gabonais, nous demandons solennellement de se soumettre à la seule autorité de la loi et de dire le droit », explique le communiqué.
L’occasion pour Appel à Agir de lancer une « invitation dans les circonstances particulières que traverse notre pays, nous invitons chaque gabonaise et chaque Gabonais à faire montre de conscience historique et à redouter le jugement de l’histoire ».
Pour les partisans du président Bongo, le retour du président sonne la fin du congossa (ragot).
Depuis notre « appel à Agir » du 28 février 2019, nous avons demandé la constatation de la vacance du pouvoir. Nous avons affirmé qu’Ali Bongo n’est plus en capacité d’assumer les charges inhérentes à la fonction de président de la République. Nous n’avons jamais demandé une preuve de vie », a indiqué le communiqué.
Puis d’ajouter que : » ceux qui ont décidé du retour d’Ali Bongo prétendaient clore le débat sur la vacance du pouvoir. C’est le contraire qui s’est produit. À l’évidence, Ali Bongo n’est plus en capacité de remplir les charges de la fonction de président de la République.
Nous ne cesserons jamais de le dire, notre démarche est citoyenne, légaliste et républicaine. C’est donc en vertu des lois de la République, auxquelles chaque citoyen est soumis, quel quesoit son statut ou son rang, que nous avons saisi la justice.
Nous l’avons fait en conscience et certains de notre bon droit. Au juge que nous venons de saisir et qui rend la justice au nom du peuple gabonais, nous demandons solennellement de se soumettre à la seule autorité de la loi et de dire le droit », explique le communiqué.
L’occasion pour Appel à Agir de lancer une « invitation dans les circonstances particulières que traverse notre pays, nous invitons chaque gabonaise et chaque Gabonais à faire montre de conscience historique et à redouter le jugement de l’histoire ».
Pour les partisans du président Bongo, le retour du président sonne la fin du congossa (ragot).