À l’attention de Gabon Infos.
Je suis Sacha PINDJI, Journaliste Principale et Présentatrice des Éditions à Gabon Télévision, Administrateur du Média en Ligne Notre Tribune.TV, et accessoirement fille aînée de Mme OKANIVAMI Marie Louise épouse ELEBE.
Le silence dont nous avons souvent fait preuve, mes frères et moi, n’est pas un signe de faiblesse. Ôh non !!! loin s’en faut ! C’est simplement une marque de respect à l’endroit des ressortissants du Département de l’Ogooué-Letili Boumango d’où nous sommes tous natifs. Mais, sachez que nous en avons marre de vos attaques à n’en plus finir. En fait, vous ne méritez pas notre respect.
Avant d’entamer mon propos, je me pose une seule question et vous la pose également, à vous tous qui nous lisez ici : quelle est la ligne éditoriale de Gabon Infos !?
Est-il nécessaire de vous rappeler qu’en publiant des allégations mensongères à l’endroit d’une noble Dame, vous portez atteinte à son intégrité et à sa dignité !? Ce qui, sachez le, vous amènera à répondre devant qui de droit, car en ma qualité de professionnelle de média, je sais qu’un article ne peut être écrit et publié sans une enquête au préalable, sous peine d’engager sa responsabilité. Ce qui m’amène à qualifier ce pseudo-Journaliste, Vinga Paul m’Ayoulou, de son nom ou nom d’emprunt, d’amateur et d’ignorant en ce qui concerne la déontologie journalistique.
Faudrait au demeurant lui rappeler que la diffamation, qui plus est à l’endroit d’une personnalité publique, est un délit puni par les lois de la République. Quoiqu’on en dise, nous sommes quand même dans un État de droit, et on a pas le droit de se cacher derrière un pseudo statut de journaliste pour dire tout et n’importe quoi sur des honnêtes gens. Je le mets au défi d’apporter les preuves de ses allégations. A défaut, qu’il se taise à jamais!
Par ailleurs, je vais m’attarder sur l’expression « titre foncier » que vous avez employé dans votre article, et je vais me faire le plaisir de vous édifier au sujet de celui que vous défendez, j’ai cité Mr Simon BOULAMATARI, et j’espère que vous allez avoir la décence de me répondre afin de me dire, qui des deux détient un titre foncier politique dans le Département de l’Ogooué-Letili Boumango (province du haut Ogooué)!
À l’ensemble des personnes qui s’en prennent à Mme OKANIVAMI Marie Louise épouse ELEBE, ma mère, cette Dame était à son premier mandat en qualité de Sénateur, Membre du Bureau Politique PDG et Candidate au primaire, ce qui a conduit aux résultats de 7/7 pour les deux candidats et amena les instances du Parti PDG à faire le choix de Mr BOULAMATARI, en faisant au passage abstraction de la décennie de la femme tant prônée par le Chef de l’État, car Mme ELEBE était la seule femme dans la Province du Haut Ogooué à rester dans cette course au Sénat, dans le respect de la ligne éditoriale du Parti dont elle est membre du Bureau Politique. Mme ELEBE à fait son retour depuis ce jour dans le Haut Ogooué afin d’exprimer son vote, car elle reste assujettie au choix du Parti.
Cependant, de 2016 à ce jour, elle a su marquer son passage, et ses actes politiques dans le Département parlent d’eux mêmes. Et, pour en venir à celui que vous plébiscitez, à savoir Mr Simon BOULAMATARI, ce dernier a été Directeur de Cabinet Adjoint du Feu Président Omar Bongo ONDIMBA pendant plus de 10 ans, Secrétaire d’État dans plusieurs Gouvernements, Président du Conseil d’Administration de la SIAEB et Députés pendant deux mandats, excusez-moi du peu ! Alors Mr le prétendu Journaliste, qui des deux détient un Titre Foncier Politique dans le Département de l’Ogooué-Letili Boumango ?
Elle vous fait tellement peur !!!
Mais la peur est un sentiment normal face à une personne qui vous est Supérieure et, de surcroît, aimée de tous; une personne qui a toujours fait élire les candidats du PDG.
Ceci dit, ne prenez pas vos actes de délinquants politiques pour une généralité, lorsque vous fomentez vos malversations en croyant que tout le monde fait comme vous, afin de nuire au choix de la hiérarchie comme vous savez si bien le faire.
Aujourd’hui, nous pouvons encore te dire combien nous t’aimons et combien nous sommes fières de toi Maman Départementale comme aime à t’appeler l’ensemble des fils et filles de notre Département.
Bien- aimée, pour ainsi vous appelez, le mot que nous t’adressons vient, non pas tenter de t’indisposer, nous laissons le soin à d’autres de le faire, mais simplement apporter quelques éclaircies à certaines ombres.
Le journalisme exige en respect du principe du « Droit de réponse » que la personne se sentant lésée, réponde, si cela le lui dit, dans le média ayant pris la responsabilité de publier l’article à charge, au même endroit ( rubrique) et dans les mêmes proportions ( signes).
Autrement dit, il est antiprofessionnel d’aller se répandre dans les colonnes d’un média tiers lorsque l’article incriminé figure dans un autre.
Votre vie privée ainsi que vos opinions personnelles, fussent- elles politiques, n’intéressent que très peu les gens. Ce pourquoi, nous ne nous immiscerons nullement dans tout ce qui s’y rapporte. Tout cela ne vous engageant que vous- mêmes. Ce que nous concevons car, comme vous l’avez rappelé, le Gabon est un pays démocratique.
La ligne éditoriale étant l’âme d’un média, ce n’est pas en demandant audit média quelle est-elle que vous y changerez quelque chose, plutôt faut-il le subir intelligemment. Au besoin, tenter d’entrer en contact avec sa rédaction(voir l’Ours) surtout pour voir dans quelle mesure pouvoir échanger avec elle sur des questions qui fâchent. C’est certainement de cette manière que vous pouvez être sûre d’être comprise et éviterez d’ébruiter certaines affaires dont celles pouvant vous desservir.
Bien entendu, il faut à tout journaliste être capable d’apporter la preuve de ses allégations. Mais si l’on peut par moments admettre qu’elles sont parfois ou souvent mensongères, est- ce forcément le cas ici ? Sans partie pris, nous vous conseillons de chercher à savoir de quels » biscuits » pourrait disposer « Gabon Infos » pour accabler quelqu’un contre qui il n’a visiblement rien ?
Concernant l’usage de pseudonyme » nom de plume », cela fait partie des libertés fondamentales dont dispose le journaliste. Cela est valable dans les pays de grande et longue tradition médiatique ( USA, FRANCE, ANGLETERRE, etc.). Point n’est besoin de vous apprendre que ce n’est pas nous qui inventerons la roue. Bien au contraire faut- il que la coorporation s’organise pour se défendre contre tous ceux dont le dessein est de limiter les libertés universellement reconnues aux hommes de presse.
Legénéral Mouk–Anda