Le faux et usage de faux est désormais monnaie courante dans nos administrations à tel enseigne que certains individus s’en servent pour commettre des actes répréhensibles.
C’est le cas du foncier. Ce secteur est inondé d’individus malveillants qui n’hésitent pas à déposséder des paisibles citoyens de leurs parcelles de terre. Un grand réseau composé de gabonais et de Camerounais qui aurait élu domicile dans le grand Libreville, particulièrement dans la
ommune d’Akanda qui d’ailleurs est en phase d’être démantelé. Ces derniers auraient dépossédé plusieurs sites pour des mises en vente aux particuliers. À l’exemple du site réservé au traitement usé du ministère des hydrocarbures, situé à Vanayon derrière le stade d’Angondjé. Ils auraient avec eux des complices tapis dans la plupart des administrations publiques et parapubliques, pour la fabrication des faux titres fonciers et autres documents antidatés. Ils auraient également comme complices, des agents des forces de l’ordre et de défense du Commissariat d’Akanda, qui auraient mission d’intimider les populations vulnérables. Ceux qui tentent de s’opposer sont immédiatement conduits au commissariat dans ce commissariat, où ils sont soit gardés à vue ou interdits de mettre les pieds sur le site queurellé.
Affaire à suivre