Censée contribuer au développement des pays membres de son organisation par l’éducation et la culture, l’UNESCO tente désormais de réaliser son agenda visant à promouvoir l’homosexualité en afrique, surtout au Gabon.
C’est en effet ce qui semble ressortir dans la lecture du guide d’éducation en santé sexuelle et reproduction (ESSR) distribué aux enseignants gabonais. Cet ouvrage n’a pu voir le jour qu’après la Convention signée le 5 juin 2023 entre la Commission nationale de l’UNESCO et le ministère de l’éducation nationale, visant à promouvoir l’éducation sexuelle au pré-primaire et au primaire. Cet ouvrage dans lequel sont mentionnés des contenus relatifs à l’homosexualité remplit un objectif bien affirmé par l’Organisation des Nations Unies, c’est-à-dire la promotion de l’homosexualité dans les pays d’Afrique, à l’instar du Gabon.
Il serait d’ailleurs inutile de mentionner que plusieurs haut-cadres du ministère de l’éducation nationale exercent à l’Unesco en qualité de consultants, touchant donc des revenus venant de cet organisme.
Leur collaboration avec les experts internationaux pour l’élaboration des programmes et d’ouvrages d’éducation en santé sexuelle ne saurait être qualifié de coopération entre l’État gabonais et l’UNESCO, mais plutôt comme une subordination à l’égard de cet organisme international. il est aisé de comprendre que le financement perçu par par ces fonctionnaires ont de façon certaine, ou d’une autre, une grande influence sur les directives que ces derniers ont eu à proposer dans le cadre de la réalisation du programme kd’éducation en santé sexuelle en milieu scolaire gabonais. Il ne pourrait éventuellement aller à l’encontre les intérêts et objectifs visés par l’organisme qui les finance, et sont donc par conséquent mal placés pour apporter une réponse objective à la question de la promotion de l’enseignement sur l’homosexualité dans les établissements scolaires.
Il est évident que l’ agenda actuel des Nations Unies soit influencé par les lobbies LGBT, puisqu’elle inscrit dans ses principales missions la promotion de l’homosexualité dans les pays qu’il y a une vision intransigeante à son égard. Les experts internationaux sont donc eux aussi influencés, voire dirigés par la défense des intérêts des groupes d’influence LGBT une autre que la vulgarisation des communautés LGBT dans les sociétés.
L’argument de la collaboration avec les experts internationaux utilisé par les responsables de l’éducation nationale un complexe d’infériorité nourri à l’égard des Occidentaux, suivi de la decupidité; car cette défense indique implicitement leur volonté de préserver leurs perdiems de ces organisations internationales, passer elles-mêmes par le lobby LGBT.
Il y a donc là un conflit d’intérêt dans la validation de l’enseignement de l’homosexualité au Gabon qui lui est déjà un problème en soi.
Cette volonté d’enseigner l’homosexualité dans les écoles a pour but la création d’une communauté homosexuelle afin de promouvoir, les cérémonies et manifestations LGBT comme la Gay Pride au Gabon. L’introduction l’homosexualité dans le Guide de l’enseignant vise aussi le grand remplacement tant rêvé par des lobbies sataniques et sataniques.
On se demande comment le ministère de l’éducation nationale socle des valeurs culturelles et traditionnelles autorise telle la promotion d’une pratique perçue comme une abomination aux conséquences dévastatrices sur l’identité de ses concitoyens, la politique de natalité et la croissance démographique du pays ainsi que sur les valeurs traditionnelles?
Ne faudrait-il pas voir dans cet activisme, un agenda secret des organisations internationales ourdi à l’encontre de l’État gabonais, et des valeurs morales de la nation, et même de contrecarrer le développement et la souveraineté du Gabon Face aux organisations internationales et les groupes d’influence qui les dirigent. L’existence d’un tel conflit d’intérêt et l’introduction des réformes initiées par l’UNESCO en milieu scolaire gabonais serait une menace pour l’existence et la légitimité des actions du CTRI, pour la restauration des valeurs et des institutions, contribuant à saper sa légitimité auprès des Gabonais attachés à la culture ancestrale.