Dans un contexte où la question de la dette nationale du Gabon est de nouveau mise en avant, le conseiller en communication du président, Telesphore Obame Ngomo, a tenu à clarifier la situation. Selon lui, le Gabon n’a plus de dette vis-à-vis du Fonds Monétaire International (FMI) et a intégralement remboursé ses obligations. Pourtant, des voix continuent de soulever le spectre de la dette, une manœuvre que Obame Ngomo attribue à des intérêts contraires à l’autonomisation pétrolière du pays.
Le Gabon envisage en effet de devenir propriétaire de son pétrole en prenant le contrôle de l’entreprise Assala Energy. « Le Gabon a payé toute sa dette au FMI. Il faut chercher à comprendre pourquoi on agite le chiffon de la dette », a déclaré Obame Ngomo. Pour lui, la stratégie de certains acteurs est claire : nuire à la réputation financière du Gabon afin de décourager les banques de financer ses projets, notamment le rachat d’Assala Energy.
En huit mois de pouvoir, l’administration gabonaise a remboursé 880 milliards de francs CFA en termes de dette. Ce règlement significatif témoigne, selon Telesphore Obame Ngomo, de la volonté et de la capacité du Gabon à gérer ses finances de manière responsable. Cependant, la résonance autour de la dette s’avère être, d’après lui, une tactique pour discréditer le pays et le freiner dans sa démarche vers une gestion autonome de ses ressources naturelles.
Historiquement, le pétrole gabonais a été exploité par des entités étrangères, ce qui a limité le contrôle du pays sur ses propres richesses. Le rachat d’Assala, dont le contrat est arrivé à échéance, représente une opportunité pour le Gabon de suivre les pas de pays comme le Nigeria et le Tchad, qui ont réussi à nationaliser la gestion de leur pétrole. « Si le Gabon décide de racheter pour lui-même et gérer son pétrole, où est le problème ? », s’interroge Nguema, soulignant la légitimité de cette aspiration.
La transition vers une gestion nationale du pétrole gabonais pourrait redéfinir l’économie du pays, en permettant une meilleure redistribution des richesses et un renforcement de l’indépendance économique. Mais pour y parvenir, le Gabon doit naviguer à travers les pressions extérieures et les campagnes de désinformation visant à perturber son projet.
Le débat autour de la dette du Gabon semble être un écran de fumée pour détourner l’attention de l’objectif principal : l’autonomie pétrolière. La détermination du Gabon à se réapproprier ses ressources se heurte à des résistances, mais elle marque une étape cruciale vers la souveraineté économique et la valorisation de ses propres richesses.
Nous tous nous prions Dieu par Jésus-Christ béni soit son nom éternellement, que le Gabon parvienne s’AUTODÉTERMINER sur la gestion autonome de son pétrole et nous, Experts locaux avons la solution qui permette au Gabon d’y arriver sans s’endetter pourvu seulement que l’État nous donne l’opportunité de l’aider à y parvenir