Le conflit homme-faune n’est pas prêt de s’estomper. Cela se vérifie par la mort de deux compatriotes, l’une des victimes était ressortissante du village ILHAOUNENE près de Mekambo, morte dans les environs de Makokou où elle est allée ramasser le chocolat indigène ( l’Odika) et la seconde victime était un enseignant qui a trouvé la mort au cours d’une partie de chasse la veille.
Déchiqueté par le Pachydermie, il manquait au corps de l’enseignant un bras. Il a été enterré ce vendredi.
Les Assises nationales sur le conflit Homme-Faune organisées en décembre 2022, devraient permettre de trouver un accord entre toutes les parties, permettant la mise en place d’un plan d’action nationale dans le but d’améliorer la sécurité des populations et préserver la faune. Ces assises n’ont malheureusement pas permis de trouver une solution une efficace.