Le proverbe nous apprend que qui veut noyer son chien l’accuse de la rage. L’ancienne Secrétaire particulière d’Omar Bongo Ondimba, aujourd’hui Chef de cabinet privé du président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema, serait victime d’une cabale ourdie par certains collègues du cabinet.
Le poste qu’elle occupe attire tellement de convoitises que nombre d’entre eux qui voudraient placer un parent où y être propulsés font des pieds et des mains pour frapper dans l’œil du général Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la Transition. Pour ce faire, ces derniers n’hésitent pas à recourir aux services d’activistes présents sur les réseaux sociaux ou à une certaine presse afin de faire passer des messages incendiaires sur elle de nature à la déstabiliser, messages la présentant notamment comme une incapable. Alors qu’il suffit de revisiter son parcours pour être convaincu de ses hauts faits d’armes. Les jugements sur Victorine Tchicot ne sont pas portés sur sa compétence, sa probité, ou encore ses relations avec ses collaborateurs ou compatriotes, mais sur sa vie privée. Ce qui traduit la mesquinerie de ses détracteurs qui oublient ou feignent d’oublier que c’est usant de son pouvoir discrétionnaire que le chef de l’État nommé des personnalités à certaines fonctions. D’où il est plutôt demander à ceux qui en veulent à Victorine Tchicot d’attendre patiemment que leur heure sonne s’ils nourrissent l’envie d’accéder à son poste, sachant qu’ils sont plus mus par un désir carriériste que par celui de satisfaire leurs compatriotes et travailler pour le pays.
Il est donc important que les détracteurs de Victorine Tchicot sachent que » le Gabon est une maison de verre où l’on voit du dehors ce qu’il y a à l’intérieur et vis-versa », disait feu Omar Bongo Ondimba.
