Alors que le Gabon se prépare à organiser un référendum constitutionnel crucial pour l’avenir du pays, un vaste mouvement de soutien au OUI s’organise à travers les différentes provinces. Ce mouvement, structuré et coordonné avec rigueur, réunit des personnalités influentes de divers horizons politiques, économiques et sociaux, tous engagés à convaincre les populations d’adhérer au projet de réforme.
À la tête de cette mobilisation, une supervision générale composée de figures de premier plan telles que Moundounga Séraphin, Ignoumba Jonathan, Edagrd Anicet Mboumbou Miyakou, Floerentin Moussavou, Jean Pierre Doukaga Kassa, Pierre Alain Mounguengui, Alexis Boutamba, et Manfoumbi Ulrich, Béni Ngoua Mbina. Florentin Moussavou, Ngoyo Moussavou, Jean Charles Yembit, Angélique Françoise, Ngoma, Nzoutsi Mouyama Aimé Popa, entre autres. Leur rôle est de veiller à l’exécution efficace des actions de sensibilisation et de propagande en faveur du OUI, en collaboration avec des responsables départementaux et provinciaux. Cette équipe multidisciplinaire met en œuvre une stratégie visant à toucher toutes les couches de la population gabonaise, en insistant sur l’importance de la participation citoyenne.
Pour épauler cette supervision, un collège de conseillers, dont Mavoungou Mihindou, Bouyou Tatiana, et Pr Pierre-Claver Mongui, apporte son expertise pour orienter les stratégies de mobilisation et garantir l’adhésion des citoyens. Ces conseillers jouent un rôle clé dans la communication des arguments en faveur du OUI, en mettant en avant les bénéfices attendus des réformes proposées.
Pour assurer une large diffusion du message, une équipe de communication active, dirigée par Olivier BAAK Bakenda et Franck Charly Mandoukou, Pierre Boutamba, Jean Eric Nziengui Mangala,déploie des moyens de communication diversifiés. Leur mission est de renforcer la visibilité du mouvement et de convaincre l’opinion publique à travers des campagnes médiatiques ciblées, des débats publics, et une présence accrue sur les réseaux sociaux.
Au niveau provincial, le mouvement est coordonné par un bureau dirigé par Fernand Franck Freinzy Nziengui, avec des adjoints et secrétaires généraux répartis dans les différents départements pour une gestion décentralisée des opérations. Chaque département, de Doutsila à Haute Banio, dispose de son propre coordinateur, garantissant une approche de proximité et une mobilisation efficace sur le terrain.
Les responsables départementaux tels que Pambo Yannick pour Mougoutsi et Guy Noël Bibalou Wenda pour Doutsila sont au cœur de l’action locale. Ils organisent des réunions, des campagnes de porte-à-porte, et des événements communautaires pour sensibiliser les électeurs. Leur objectif est d’assurer une forte participation et de rallier un maximum de voix en faveur du OUI.
Le référendum est perçu par ses promoteurs comme une opportunité de renouvellement démocratique et de consolidation de la paix au Gabon. Le mouvement en faveur du OUI mise sur une mobilisation massive pour garantir que les réformes proposées répondent aux aspirations de la population. Pour les organisateurs, chaque vote en faveur du OUI est un pas vers un avenir meilleur, où la voix de chaque Gabonais compte.
Ce référendum représente également un test de leadership pour les acteurs de la transition, dont le succès ou l’échec influencera la suite du processus politique au Gabon. À travers cette mobilisation, le mouvement espère non seulement valider les réformes proposées, mais aussi consolider la confiance entre les citoyens et leurs dirigeants.
L’enjeu est donc de taille : il s’agit de convaincre, de mobiliser, et surtout de démontrer que le Gabon peut, à travers des choix démocratiques, tracer la voie vers un avenir de paix et de développement durable.
