Depuis plusieurs semaines, difficile de comprendre ce que veulent les détracteurs de dame Aniamatsié Mbélé Clémence Éliane, Secrétaire générale de la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite, devenue la personne à abattre(CNLCEI), des décisions injustes la pénalisant étant prises dans son dos.
En effet, cela fait des lunes que cette responsable de l’Institution est privée de sa prime de fonction au nom d’on ne sait quel texte, le droit la lui octroyant cependant. Serait-elle victime d’un délit de faciès ? Si c’en est le cas, qu’on lui signifie la cause pour qu’elle ait le cœur net, pour qu’au moins, elle fasse contre mauvaise fortune, bon cœur, même si…
Depuis sa nomination à la CNLCEI, la SG s’est illustrée par une gestion remarquable. Il suffit, pour le prouver, de se référer à des arguments tels le rétablissement de la confiance et la restauration de l’institution en août 2023, hommes politiques et candidats à la dernière élection présidentielle peuvent en témoigner.
Serait-elle accusée du fait d’être trop présente à son poste et de passer tous les dossiers au scanner?
À la lumière des témoignages de certains agents de la commission, qui disent que » Aniamatsié Mbelé, cette dame affable et très respectueuse des règles élémentaires de savoir vivre en communauté, fonctionne comme un élément du CTRI, caractérisé par la discipline et le sens du devoir bien accompli. Elle arrive toujours au bureau avant 7h. Cette dame que nous appelons affectueusement la » blanche », se méfie d’apposer sa signature sur un document non conforme et douteux ».
Depuis un temps, Aniamatsié Mbélé Clémence Éliane est victime d’un acharnement de la part de Chantry Ovoughou N’gayis, Directeur des affaires administratives et financières de la CNLCEI, homme lige du Président de la Commission, Mbou Nestor. La question que l’on se pose est celle de savoir de quel droit Chantry Ovoughou Ngayis signe-t-il des actes au nom du Secrétaire général pourtant présent à son poste de travail ? Existe-t-il des dispositions lui conférant ces prérogatives ?
L’article 29 nouveau de la loi N 041/2020 du 22 mars 2021 modifiant certaines dispositions de la loi N 002/2023, décline cependant avec précision, les attributions du Secrétaire général de la CNLCEI. Au regard de tout ce qui précède, il y a logiquement lieu de se demander sur l’instigation de qui Ovoughou Ngayis agit-il ? Tout comme l’on peut se poser la question de savoir qu’elle est le véritable dessein des détracteurs du SG qui brillent avec insistance par un discours haineux et mensonger à son encontre ?
Ces agissements ne sont pas utilisés dans le but de plomber les nobles initiatives du président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema ?
Il nous plaît à l’occasion de tordre le cou à ces agissements rétrogrades qui ne grandissent pas du tout leurs auteurs et qui visent à mettre du sable dans l’engrenage du CTRI.
Nous y reviendrons !
