Alors que la crise économique bat son plein au Gabon, le secteur de la prostitution lui est en hausse dans les capitales politique et économique du Gabon.
Le plus vieux métier du monde a visiblement de beaux jours dans notre pays.
À l’observation, le secteur de la prostitution au Gabon s’est même modernisé, avec l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), Whatsapp et Facebook étant les principaux usités.
L’arrivée du Covid-19 n’a pas freiné l’élan des travailleuses du sexe. Bien au contraire, la pandémie l’a boosté considérablement.
Le phénomène a même contaminé les capitales provinciales du pays.
Qu’est-ce qui pousse en réalité les femmes à s’adonner à ce secteur, à première vue très rentable ?
Les raisons évoquées sont diverses. Entre pauvreté et facilité, tout passe. Entre dérives morales et éducation familiale, l’on ne sait où se situer.
On y trouve toutes les couches sociales. Mêmes les femmes mariées n’y échappent pas. Les élèves et étudiantes elles, constituent le gros du phénomène.
De l’avis de certains observateurs, la vie serait devenue très coriace. De fait, les valeurs volent en éclats. Entre famine et préservation des principes, la frontière est bien mince.