Il n’est plus de jours où nous ne sommes pas informés via les réseaux sociaux et les médias sur la « supposée » maltraitance dont serait victime à la prison de Gros-Bouquet de Libreville, Brice Laccruche Alihanga, ancien Directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba.
Le moins que l’on puisse dire est que leur démarche est intentionnelle. Car s’appuyant notamment sur des rumeurs et non sur des faits avérés. D’où la question que l’on se pose de savoir dans quelle intention ces informations sont abondamment distillées par des hommes visiblement aux ordres ?
De même que l’on se demande dans quel but accuse-t-on Brice Clotaire Oligui Nguema d’avoir infligé des sévices corporels à l’ancien collaborateur d’Ali Bongo Ondimba ? Comment ne pas dans ce cas comprendre l’humour manifeste chez les responsables de la prison centrale à qui incombe le suivi des personnes en milieu carcéral et qui sont de ce fait, plus que d’autres, au fait de la réalité pour être capables d’en parler avec honnêteté, quoiqu’on dise, et précisons.
Nous voulons humblement, non pas donner des leçons, mais simplement sensibiliser sur le fait que lorsque haine, malhonnêteté, roublardise, amnésie et bien d’autres vices et maux prennent le dessus sur leur contraire, il y a de gros risques qui nous poussent à nous demander pourquoi, s’exhiber publiquement et de pourfendre ceux contre lesquels ils se liguent à tort ? Il serait intéressant de savoir quelles sont véritablement leurs cibles et pourquoi ne pas s’armer de courage pour leur étaler tout ce qui leur est reproché ?
Qu’ils se ravisent, le « Gabon étant une maison de verre » comme le qualifiait Omar Bongo Ondimba, ce qui semble se faire en sourdine est su de tous. Ce qui devrait pousser ces colporteurs de fausses nouvelles de comprendre que personne n’est dupe au point de ne pas savoir quelles sont leurs intentions et qui sont leurs commanditaires mal intentionnés. Ils gagneraient de ce fait à la boucler pour garder un minimum de crédibilité.
Ils auraient gagné à connaître Sieur Oligui Nguema et ses faits d’armes avant que de l’impliquer dans des actes aussi imaginaires que celui de la torture, qui plus est en prison, de Brice Laccruche Alihanga !