FORUM ÉCONOMIQUE DE POG SUR LA PÊCHE: HOUANGNI AMBOUROUE INNOVE !

Depuis son arrivée à la tête du Ministère de la pêche et l’Économie maritime, Pascal Houangni Ambouroue se signale par des actes allant dans le sens de l’implémentation du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) initié par le président de la République, Ali Bongo Ondimba pour assurer au Gabon une marge de développement conséquente et aux populations, un meilleur-être.

Parce que convaincu de tout ce qui précède, le membre du gouvernement a organisé du 11 au 13 mai dernier, dans la capitale économique du Gabon, la première édition du Forum économique consacrée au secteur pêche, notamment celui relatif à l’industrialisation du thon, un poisson très prisé qui est cependant très rare dans les assiettes des Gabonais. Trois journées privilégiées où l’échange et le partage étaient au rendez-vous, des invités venus d’ailleurs, partager leur expérience avec des sujets nationaux. Il s’est agi d’évoquer l’industrialisation de cette espèce pas suffisamment mise en valeur, mais disposant pourtant de valeurs nutritives indispensables à l’homme.

De l’avis général, le Forum a été un succès au vu du manifeste pour la pêche et l’aquaculture signé à l’issue des travaux, manifeste qui sera soumis aux plus hautes autorités du pays en tête desquelles le président de la République Ali Bongo Ondimba et le chef du gouvernement Alain-Claude Bilie-By-Nze, en vue d’améliorer le secteur et intéresser les pourvoyeurs d’emplois, susceptibles de contribuer à réduire la vie chère, tel est d’ailleurs le vœu cher au chef de l’État, à lutter contre des phénomènes tels le chômage, la précarité, la paupérisation et lutter contre tous les maux qui y sont attachés.

Et comme il fallait bien joindre l’utile à l’agréable, une foire dédiée à la vente de poissons, crustacés et fruits de mer au prix d’entre 500 et 1000 francs CFA le kilogramme a été organisée pour démontrer la volonté manifeste de l’autorité de convaincre les populations de sa bonne foi. Au cours de ladite foire, les Porgentillais ont découvert des espèces qu’ils ne connaissaient peut-être pas encore suffisamment, mais qui et pourtant existent bien chez eux: la Baudoie, (poisson marin que l’on retrouve le long des côtes d’Europe), et le Merlu, vendues curieusement à prix d’or en Europe et en Asie, 40 euros le kilogramme, 30 euros pour la seconde, espèce.

On peut conclure logiquement que le pari de Pascal Houangni Ambouroue est en passe d’être gagné car il ne lui aura pas fallu trop de temps pour se mettre, comme le maçon, au pied du mur !

 

Chartrin ONDAMBA

Redacteur en chef adjoint