GABON/CSAIG : AUTORITARISME ET RELIGION NE FONT PAS BON MÉNAGE !

« Tant va la cruche à l’eau qu’elle finit par casser  » Ce proverbe africain trouve toute son explication au Gabon, notamment dans le cercle des adeptes d’Allah dans lequel la tête de l’imam Oceni Ossa qui cumule des bourdes est plus que jamais mise à prix.

Comme quoi « l’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique ». Or, c’est cette attitude néfaste à la cohésion du groupe qu’affiche outrancièrement Océni Ossa à la tête du Conseil islamique du Gabon, ce, malgré d’incessants rappels à l’ordre. Certes, les mauvaises habitudes ont la vie dure, mais de là à ne pas comprendre qu’elles induisent forcément à l’erreur…Le Président du Conseil supérieur des Affaires islamiques du Gabon (CSAIG), Ismaël Oceni Ossa, et le tout puissant Conseiller spécial du Raïs, Ali Akbar Onanga Y’Obégué, dont les pratiques sont récusées parce que contraires à la morale publique, continuent tous deux de se dire « autant en emporte le vent », balayant du revers de la main toutes les récriminations qui leur sont faites. Et pourtant, ces hommes ont voie au chapitre dans les nominations de plusieurs hauts cadres dans l’Administration et, mieux, à la présidence de la République, parmi lesquels des personnalités dont la moralité est remise en cause par nombre de plusieurs observateurs avertis de la « chose politique ». Comme cela est suffisamment démontré dans le communiqué final du Conseil des ministres du 1er février dernier au cours duquel 9 personnalités de cet acabit se sont vues confier des fonctions enviables. La particularité de ces nominations réside dans le fait exclusif que toutes ces personnes (9) occupent des hautes fonctions au CSAIG.

Le dossier étant loin d’être clos, nous gardons des biscuits dans notre gibecière, que nous sortirons tout croustillants le moment venu pour confondre, s’il en est besoin, ces indélicats qui tirent la République promise à l’émergence par Ali Bongo Ondimba vers le bas. Il sera alors question de dévoiler au grand jour l’identité et les postes occupés par les personnalités nommées parmi lesquelles des retraités.

Affaire à suivre !

 

Chartrin ONDAMBA

Redacteur en chef adjoint