Tout porte à croire que les détracteurs du Délégué Spécial-adjoint du 1er arrondissement de la commune de Franceville, Jean-Clément Ossounga alias Ossous, qui manifestent ouvertement leur mauvaise foi, tiennent à lui pourrir la vie.
Leur cible est, depuis sa nomination, victime de critiques aussi bien fantaisistes qu’insensées, véhiculées par les réseaux sociaux aux fins de nuire à cette personnalité nommée par le CTRI.
A y regarder de très près, ces malhonnêtes détracteurs feignent d’oublier les qualités de Jean-Clément Ossounga qui lui ont valu sa nomination. Le jeune homme vaillant est bien connu des Altogovéens pour son engagement plus que trentenaire en politique. L’homme pour qui les geôles n’ont pas de secret, a été plusieurs fois arrêté pour ses opinions politiques, la dernière arrestation remontant à 2016 lorsqu’il soutenait Jean Ping.
Que lui reprochent ses détracteurs pour qui il est devenu la cible privilégiée, détracteurs qui passent le plus clair de leur temps à le couvrir d’attaques à charge et de procès de mauvaise intention, y compris de la part de ceux qui disent pourtant être ses amis ?
Comment admettre que Jean- Clément Ossounga qui purgeait sa peine à la prison centrale de Franceville pour ses opinions politiques au moment des faits, soit rendu responsable d’un vol chez un dignitaire de la ville ? Nous sommes-nous là, ni plus ni moins, dans la désinformation et dans une argumentation tendancieuse adressée contre quelqu’un dont la probité morale est reconnue.
Il est plausible de reconnaître que qui veut noyer son chien l’accuse de rage ! Malgré son insistance à vouloir ramener ces colporteurs de fausses nouvelles à la raison, Jean-Clément Ossounga rencontre des pesanteurs dues au mauvais esprits, à la mesquinerie, à la roublardise et à la faiblesse éducationnelle de ceux qui ont opté pour se liguer contre lui.
A la lumière de tout ce qui précède, il y a lieu de se demander quel nouveau plan concoctent ces colporteurs de fausses nouvelles qui semblent perdre de vue que la vérité n’a pas de tombe.
