Depuis un certain temps, des individus tapis dans l’ombre, se servent de médias à leur solde pour déverser contre Joël Lehman Sandougout, Directeur général de la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG), un torrent de critiques acerbes.
Cela laisserait croire qu’il est le principal responsable des problèmes auxquels la société fait face, dire qu’il n’est en fonction que depuis le 3 octobre dernier.
Au vu d’une telle réalité, il faut faire preuve, même si on est foncièrement de mauvaise foi, d’une malhonnêteté intellectuelle pour feindre d’oublier les désagréments que la SEEG a de tout temps fait subir aux Gabonais. Veut-on nous faire croire que la pénurie d’eau et les délestages récurrents ne datent que d’hier sous l’ère Sandougout ?
D’où la question qu’on se pose de savoir qu’elle est le véritable dessein des détracteurs du DG de la Société qui brillent avec insistance par un discours haineux et mensonger à son encontre ?
Osons, pour notre part, tordre le cou à ces agissements rétrogrades qui ne grandissent pas du tout leurs auteurs et qui visent à mettre des grains de sable dans l’engrenage du CTRI qui, pour avoir pris la décision de nommer à des postes importants certains compatriotes, a bien pris le soin d’interroger leur expertise, leur moralité, leurs états de service et leur sens du patriotisme. Aux journalistes qui se livrent à ce jeu insipide sortant des canaux professionnels, quelle honte, nous conseillons de revisiter les fondamentaux de leur métier pour s’asseoir sur des vertus comme la neutralité, l’indépendance et la liberté sans lesquelles ils ne représentent que de vulgaires propagandistes. Que ferait-il à ce moment dans la profession qui exige que l’on ne rapporte que des faits de surcroît tangibles et palpables ?