Les confédérations syndicales des travailleurs sur le pied de guerre pour la sauvegarde des emplois 

La recherche des meilleures conditions de vie et de travail est le leitmotiv des confédérations syndicales des travailleurs du Gabon. À l’heure où se déroulent les travaux du Dialogue national inclusif, les partenaires sociaux n’oublient pas ce qui les préoccupent au plus haut point. 

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Une étape qui ne fait pas oublier les confédérations syndicales des travailleurs de faire entendre leur voix. Ce mardi 23 avril, une déclaration a été faite par ces dernières. C’est que celles-ci ont remarqué un certain nombre de choses bizarres. « (…). Si les travailleurs du Gabon se sont toujours plaints des mauvaises conditions de vie et de travail dans les entreprises, faute d’un dialogue social franc, il est aussi vrai de reconnaître que cette situation est imputable à certains employeurs véreux qui foulent au pied la législation nationale qui encadre les relations de travail dans les entreprises », ont-ils déclaré.

 

La sortie des confédérations syndicales des travailleurs est motivée par de nombreux errements. On en veut pour preuve, celles relatives aux « informations recoupées auprès de nos différentes bases, des intéressés eux-mêmes, de l’Inspection du Travail et des rendus de justice attestent que les procédures administratives, financières et judiciaires ont été respectées au profit des salariés même si ces n’ont pas observé la démarche préconisée par les dispositions du Code du Travail en matière de conflit social » ajoute la déclaration des confédérations syndicales des travailleurs.

 

Lesquelles poursuivent que malheureusement, il est de relever que le comportement blâmable affiché par certains employés de la SGTP qui ont cessé leur activité de manière illicite a conduit à la rupture du contrat avec COMILOG causant ainsi un préjudice à l’employeur, au promoteur et aux autres employés, qui ont fini par être licenciés pour motif économique. Cet acharnement contre cet opérateur économique de premier plan et engagé, que nous condamnons sans réserve pourrait être assimilé à un harcèlement moral et physique, pouvant conduire à la fermeture totale des entreprises, augmentant ainsi le taux de chômage des jeunes en perpétuel croissance ».

 

Par ailleurs, quelques statistiques recueillies sur les actifs de l’entrepreneur chevronné du PDG de la SGTP en matière d’emplois des gabonais au sein de ses entreprises : il y a quelques années avec VIGILE SERVICE qui faisait la fierté du gardiennage au niveau du GABON avec près de 2000 employés dont 1900 gabonais. Celle-ci a été fermée par effet du prince. C’est donc l’État qui ferme cette structure et qui paye l’ensemble des salariés de l’époque.

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Aussi, en comparaison avec la SGS à l’époque, elle n’était remplie que d’expatriés et peu de Gabonais.

 

Autre élément souligné: lorsque VIGILE SERVICE était opérationnel le taux de braquage avait été réduit de beaucoup à cause de la création des emplois.

 

SGTP-MINES avec 200 salariés nationaux dont 2 expatriés. La SGTP détient par contre plus de 800 employés nationaux et 4 à 5 expatriés. TRYAM Société qui fait dans le transport compte environ 80 employés dont 75 gabonais. La Direction Générale des Entreprises- ESES compte 100% de nationaux. Nous voyons là que c’est la GABONISATION qui part du Chef Service au Directeur Général.

En conclusion, espérons que le Gabonais ne soit pas un loup pour son frère gabonais. Mais plutôt là, pour le besoin du GABON immortel.

 

Kevin-aymard LelenguiSociété : Les confédérations syndicales des travailleurs sur le pied de guerre pour la sauvegarde des emplois

 

La recherche des meilleures conditions de vie et de travail est le leitmotiv des confédérations syndicales des travailleurs du Gabon. À l’heure où se déroulent les travaux du Dialogue national inclusif, les partenaires sociaux n’oublient pas ce qui les préoccupent au plus haut point.

 

Une étape qui ne fait pas oublier les confédérations syndicales des travailleurs de faire entendre leur voix. Ce mardi 23 avril, une déclaration a été faite par ces dernières. C’est que celles-ci ont remarqué un certain nombre de choses bizarres. « (…). Si les travailleurs du Gabon se sont toujours plaints des mauvaises conditions de vie et de travail dans les entreprises, faute d’un dialogue social franc, il est aussi vrai de reconnaître que cette situation est imputable à certains employeurs véreux qui foulent au pied la législation nationale qui encadre les relations de travail dans les entreprises », ont-ils déclaré.

 

La sortie des confédérations syndicales des travailleurs est motivée par de nombreux errements. On en veut pour preuve, celles relatives aux « informations recoupées auprès de nos différentes bases, des intéressés eux-mêmes, de l’Inspection du Travail et des rendus de justice attestent que les procédures administratives, financières et judiciaires ont été respectées au profit des salariés même si ces n’ont pas observé la démarche préconisée par les dispositions du Code du Travail en matière de conflit social » ajoute la déclaration des confédérations syndicales des travailleurs.

 

Lesquelles poursuivent que malheureusement, il est de relever que le comportement blâmable affiché par certains employés de la SGTP qui ont cessé leur activité de manière illicite a conduit à la rupture du contrat avec COMILOG causant ainsi un préjudice à l’employeur, au promoteur et aux autres employés, qui ont fini par être licenciés pour motif économique. Cet acharnement contre cet opérateur économique de premier plan et engagé, que nous condamnons sans réserve pourrait être assimilé à un harcèlement moral et physique, pouvant conduire à la fermeture totale des entreprises, augmentant ainsi le taux de chômage des jeunes en perpétuel croissance ».

 

Par ailleurs, quelques statistiques recueillies sur les actifs de l’entrepreneur chevronné du PDG de la SGTP en matière d’emplois des gabonais au sein de ses entreprises : il y a quelques années avec VIGILE SERVICE qui faisait la fierté du gardiennage au niveau du GABON avec près de 2000 employés dont 1900 gabonais. Celle-ci a été fermée par effet du prince. C’est donc l’Etat qui ferme cette structure et qui paye l’ensemble des salariés de l’époque.

 

Aussi, en comparaison avec la SGS à l’époque, elle n’était remplie que d’expatriés et peu de Gabonais.

 

Autre élément souligné: lorsque VIGILE SERVICE était opérationnel le taux de braquage avait été réduit de beaucoup à cause de la création des emplois.

 

SGTP-MINES avec 200 salariés nationaux dont 2 expatriés. La SGTP détient par contre plus de 800 employés nationaux et 4 à 5 expatriés. TRYAM Société qui fait dans le transport compte environ 80 employés dont 75 gabonais. La Direction Générale des Entreprises- ESES compte 100% de nationaux. Nous voyons là que c’est la GABONISATION qui part du Chef Service au Directeur Général.

En conclusion, espérons que le Gabonais ne soit pas un loup pour son frère gabonais. Mais plutôt là, pour le besoin du GABON immortel.

 

Kevin-Aymard Lelengui