Dans un contexte politique tendu à l’approche de l’élection présidentielle du 12 avril 2025, le Congrès des Alliés pour la Rupture (C.A.R) a saisi la Cour Constitutionnelle ce mardi 11 mars après-midi. Cette démarche fait suite au rejet initial de la candidature de Jean Remy YAMA, porte-étendard du consensus de l’opposition.
Un point litigieux, relatif à l’acte de naissance de l’un des parents du candidat, a été résolu. En effet, une photocopie conforme de l’acte de naissance de la mère de Jean Remy YAMA a été intégrée au dossier, levant ainsi un obstacle administratif majeur.
Le C.A.R, soutenu par une large frange de l’opinion nationale et par le « peuple du changement », affiche une confiance renouvelée dans l’issue de cette procédure. Tous les regards sont désormais tournés vers les juges constitutionnels, dont la décision est attendue avec impatience.
Dans un climat politique marqué par l’incertitude, cette saisine relance le débat sur la transparence et l’équité du processus électoral. Le C.A.R espère que la justice constitutionnelle permettra à Jean Remy YAMA de concourir, offrant ainsi une alternative crédible aux électeurs gabonais.
Affaire à suivre.