GABON: QUE GAGNE-T-ON À SALIR EDGARD-ANICET MBOUMBOU MIYAKOU ?

L’affaire commence par faire mousse. Depuis son départ du gouvernement, une presse malintentionnée s’acharne contre l’ancien ministre d’État Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou qu’elle tend à rendre responsable de faits qui ne lui sont pas du tout imputables parce que d’ailleurs fallacieux.

Cette presse, visiblement aux ordres vient à nouveau de se signaler maladroitement. Toute honte bue, feignant d’ignorer que la vérité n’a pas de tombe et que toute vérité sera toujours sue. A quoi joue-t-elle, ne cesse-t-on de se demander, y compris ceux qui, par mégarde, ont lu ces écrits racontant que l’ancien membre du gouvernement serait parti sur la pointe des pieds de la place de l’indépendance de Tchibanga où à été célébré le 54ème anniversaire du Parti Démocratique Gabonais (PDG).

Première incongruité, la deuxième étant constaté lorsque l’écrivassier avance non sans sourciller qu’Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou a manifesté une colère au moment de prendre congé de ses camarades. Tout ça n’est que simple et pure gesticulation qu’il ne faut admettre que lorsqu’on connaît les auteurs de ses bassesses. Généralement des personnes manquant de courage et viscéralement nuisible. Soit ce sont des journalistes cupides vivant aux crochets de certains politiques. Soit ceux qui, ayant vendu leur âme au diable, sont prêts à n’importe quoi, encore faut-il que l’on se rassure d’abord s’ils tiennent compte de l’existence de la Déontologie, de l’Éthique et du Code de la Communication.

Il n’est pas interdit à un journaliste d’aller en quête d’informations, mais il lui est recommandé de vérifier ses sources et recouper au besoin celles-ci.

Comme s’ils avaient pour dessein programmé d’effacer de la conscience collective, les hauts faits d’armes de ce commis de l’État. Œuvre difficile à réaliser quand on sait l’attachement qu’ont les populations des Haute et Basses Banio avec cet homme. Attachement que ne sont pas prêts de détruire les médisances de tous genres qui devaient plutôt faire honte à leurs auteurs. Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou qui était bel et bien présent à Tchibanga lors de l’anniversaire en différé du PDG et qui devait prendre, par la suite la route pour Ndindi via Mayumba, tenait à honorer par sa présence l’important évènement et démontrer, y compris à ses détracteurs tapis dans l’ombre, qu’il reste un militant s’appuyant sur les valeurs cardinales reposant sur l’unité et le rassemblement autour du Distingué Camarade Président (DCP).

L’ancien ministre d’État de la Communication et de l’Économie numérique avait depuis prévu qu’il gagnerait Mayumba après Tchibanga pour aller entretenir sa base militante et les femmes et hommes de son fief électoral. Raison pour laquelle, il a pris congé, à son corps défendant, de ses camarades de la capitale provinciale nynoise. D’ailleurs, faut-il rappeler, Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou a tenu, avant que de quitter Tchibanga, à présenter ses excuses aux cadres de sa formation politique présents à la manifestation.

D’où est-il venu à cette presse de donc présenter des faits erronés ? Où a-t-elle vu l’homme « en colère » ? N’est-ce pas une vue de l’esprit tendant volontairement à le salir ? Cette presse a-t-elle oublié, au cas où elle est réellement renseignée et honnête, qu’Edgard- Anicet Mboumbou Miyakou, n’a de cesse de tenir des discours allant dans le sens de la préservation de la discipline, principale arme du PDG, suivant à la lettre les recommandations du Distingué Camarade Président du PDG Ali Bongo Ondimba ?

 

 

Chartrin ONDAMBA

Redacteur en chef adjoint