Port Gentil, la capitale provinciale de l’Ogooué Maritime fait mauvaise mine pour cause, plusieurs quartiers manquent d’éclairage public ce malgré quelques efforts des fils de la ville du sable qui ont fait installer l’éclairage solaire.
Poumon de l’Économie gabonaise, Port Gentil ne fait plus fière allure.
des informations dignes de foi, indiquent que le Conseil de l’eau et de l’électricité (,CENSÉ), bras de séculier de l’État avait engagé il y a un an des travaux de réhabilitation et d’installations de lampadaires à travers certains quartiers de la ville du sable. Mais depuis un moment, plusieurs interrogations demeurent sur la qualité desdits travaux. Et pourquoi le Conseil a-t-il arrêté la poursuite de leur tache ?
Dans tous les cas plusieurs quartiers dont le célèbre boulevard de l’aéroport Ali Bongo Ondimba demeurent dans les ténèbres. Une situation qui explique le nombre croissant des braquages.
Pour rappel, le Conseil national de l’eau et l’electricité(CNEE), d’après le (Décret n° 0658/PR/MERH du 21 avril 2011), assure au nom et pour le compte de l’Etat, l’exécution du service public lié à la gestion des réseaux d’eau et d’éclairage public.
À ce titre, il est notamment chargé :
De décider de la création des réseaux d’eau et d’éclairage public ;
D’assurer les dépenses liées au fonctionnement de ces réseaux ; de proposer au gouvernement les niveaux de prélèvement destinés au financement des fonds spéciaux de l’eau et de l’électricité et si nécessaire, de les ajuster (…).
« À l’époque où les collectivités locales se chargeaient de ce pan, les rues étaient tout le temps éclairées », a indiqué Placide, un habitant de Port-Gentil.
Les responsables du Conseil de l’eau et de l’électricité ( CNEE) sont invités à remédier à cette situation gênante.
