Depuis que l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) est passé sous la gestion de Serge Abessolo, rien ne va de l’avis des agents qui émettent des doutes persistants sur l’avenir de cette entité.
A tel point que samedi 13 mai dernier, le ton est monté quand le collectif des agents de l’IGIS ont élevé le ton pour affirmer et déclarer leur mécontentement face aux mauvais agissements du patron de l’institution. Le Directeur général Serge Abessolo, accusé de détournement de la RAC, de mauvaise performance et de manque de vision. La liste n’est pas exhaustive…Tout ce que l’on sait parce que devenu patent, c’est qu’une avalanche de griefs pleut sur le DG, formulée par les membres du collectif qui ont fait part de leur mécontentement à ce dernier. Ces membres du collectif qui ont fini par se demander qu’est-ce qui a milité en faveur de la nomination de Serge Abessolo à la tête de l’IGIS, temple du cinéma gabonais. S’interrogeant sur certains critères prévalant en pareille circonstance: est-ce la compétence, la probité morale, le patriotisme ou le militantisme ?
Ce que les agents retiennent, c’est que depuis deux ans qu’il occupe ses fonctions, le DG boudé n’a cessé de s’illustrer par une attitude frisant le mépris et révoltante. Il n’a jamais convoqué une réunion de travail et n’a pas, jusqu’à ce jour, daigné appliquer les recommandations des deux Conseils d’Administration tenus depuis son installation. Ce qui prête à dire que derrière l’artifice et l’apparente bonhomie qu’il affiche, Serge Abessolo représente ni plus ni moins qu’un personnage vicieux enclin à tuer l’héritage et la fierté de Philippe Mory et Charles Mensah, ses illustres prédécesseurs.
Une question, que fait le Ministère de la Communication, certainement au fait de la situation, pour mettre fin à ce qui ressemble à un gâchis ?
Kiiiiyeuh !… Moadzang Abessolo, qu’est-ce qui n’a pas marché ? Ou bien c’est de la calomnie ?
Juste dommage que l’auteur n’est fait aucune recherche de vérité, quand bien même j’ai tenté de vous joindre votre rédaction. Cela dit je reste disponible … au cas où … car il est important d’écouter les deux parties!
L’homme qui faut à la place qu’il faut au Gabon c’est le contraire il ya beaucoup de personnes du monde du cinéma qui peuvent bien occuper cette place et faire le bon job mais dommage
Le minimum serait d’interroger le DG pour avoir son avis sur les problèmes posés par les agents.
Dans notre pays, on jette trop facilement les gens en pâture. Et c’est dommage
Alors….beaucoup d’incohérences dans vos écrits et d’erreurs, même de date.
Il me semble qu’en journalisme et veuillez m’excuser pour ce rappel qui est le B.A.B.A du métier :
1/TOUJOURS VÉRIFIER SES SOURCES AVANT DE LES AFFIRMER ET SURTOUT LES PUBLIER.
VRAISEMBLABLEMENT UN CHAPITRE QUE VOUS AVEZ OUBLIÉ.
2/ TOUJOURS ÊTRE FACTUEL ( des faits que l’on peut prouver).
3/LORSQU ´IL Y A ACCUSATION, ON SE RAPPROCHE DE LA PARTIE ADVERSE POUR CONFRONTER LES VERSIONS.
Alors, ayez la classe et la noblesse d’écouter le DG également.
Journalistiquement vôtre!