L’ancien premier ministre d’Omar Bongo, Raymond Ndong Sima vient d’être nommé à la tête du prochain gouvernement de la transition.
Né le 23 janvier 1955 (68 ans) à Oyem, Ndong Sima est fiplômé de l’Université Paris-Dauphine et Havard univsersity (USA) en économie.
Il avait été nommé au cabinet du ministre de la Planification et de l’Économie en 1986, où il s’est vu confier la responsabilité de l’ajustement structurel et des relations avec le Fonds monétaire international et la Banque mondiale. En 1992, il a été nommé directeur général de l’économie. il est resté à ce poste tout en conservant la responsabilité de l’ajustement structurel jusqu’en 1994. Il a ensuite exercé les fonctions de directeur général de Hévégab, une entreprise de caoutchouc appartenant à l’État, de 1994 à 1998.
Ndong Sima a été nommé au gouvernement en tant que ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et du Développement rural le 17 octobre 2009.
Lors des élections législatives de décembre 2011, au cours desquelles le Parti démocratique gabonais au pouvoir (PDG) a remporté une écrasante majorité de sièges, Ndong Sima a été élu à l’Assemblée nationale en tant que candidat à Kyé, dans la province de Woleu-Ntem.
Le Premier ministre Paul Biyoghe Mba a démissionné le 13 février 2012. Le président Ali Bongo a ensuite nommé Ndong Sima au poste de Premier ministre le 27 février 2012. Sa nomination a été considérée comme remarquable, en ce sens que le poste de Premier ministre était traditionnellement attribué à un groupe ethnique des Fang de la province de l’Estuaire. Ndong Sima était originaire de la province de Woleu-Ntem, dans le nord du pays, bien qu’il fût également un croc. Avant sa nomination, Ndong Sima n’avait pas été considéré comme une figure particulièrement importante sur la scène politique.
Ndong Sima a exercé les fonctions de Premier ministre pendant près de deux ans. À la suite des élections locales de décembre 2013, le président Bongo a nommé Daniel Ona Ondo en remplacement de Ndong Sima le 24 janvier 2014. Ona Ondo a pris ses fonctions lors d’une cérémonie de passation des pouvoirs avec Ndong Sima le 27 janvier.
En juillet 2015, Ndong Sima a quitté le PDG, se plaignant que le parti n’était pas ouvert à la critique et à des points de vue différents. Il a également critiqué le traitement des finances par le gouvernement depuis son départ. Le secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi, a répondu que Ndong Sima était un opportuniste et a insisté sur le fait que le PDG était un parti démocratique notamment sur le plan interne.
Raymond Ndong Sima se porte candidat à l’élection présidentielle de 2023[4]. Toutefois, le collectif « Alternance 2023 » qui regroupe les principaux partis d’opposition choisit de désigner un candidat unique, Albert Ondo Ossa, qui devient le principal candidat de l’opposition fa
ce à Ali Bongo.
Voici un tres bon début mr le président
Les militaires veulent les logements et souhaite percevoir leur prime respectives, ils sont maltraité par leur hiérarchie, pas de tenue militaire (dotation) conditions de travail ne sont pas réunies .
La Mission de mikebe qui est une mission pénible et rémunéré l’argent de cette mission disparaît toujours car les éléments ne perçoivent rien
En ce qui me concerne, j’avais déjà dit a tout mon entourage que je choisi Mr NDONG Sima comme premier ministre de la transition.
Pourquoi lui ?
Quand on a un président de la république dictateur, qui se fou du peuple, le premier ministre ne doit pas jouer a ce jeux publiquement. Tout au contraire il doit toujours parler et poser les actes en faveur du peuple quitte a ce que le dictateur le change comme ça a été le cas de Mr NDONG Sima et le peuple lui sera toujours reconnaissant.
C’est l’erreur commise par mon grand frère Billy by Nzé lors de la déclaration de politique générale a l’assemblée nationale en disant deux choses :
1/- le PDG n’ait pas près a passer le relais.
2/- On organisé pas des élections pour les perdre.
Deux grosses preuves de dictature qu’il appliquera qui a retourné contre lui ceux qui au départ comme moi était de son côté. Sans se rendre compte il a entaché a vie sa vie politique. Seul un nouveau président dictateur peut le rappeler aux affaires.
Ntoutoume émane encien premier ministre de Omar Bongo a chanté la gloire du président : sous le haut patronage…..grâce à la main tendu du chef de l’état…..sous l’impulsion…..grâce à la magnabilité du chef de l’état bref……lui aussi n’a rien dit pour se moquer ou narguer le peuple comme Billy by Nzé, mais hélas trop âgé.
Eyeghe ndong dernier premier ministre d’Omar a quitté le PDG sous Ali Bongo et accompagné jean Ping a l’élection présidentielle puis revenu au PDG d’Ali Bongo….ça c’est de la demoisellerie politique ou comme le dit les autres c’est la politique du ventre son nom ne peut pas être sur la liste d’un future premier ministre de la transition.
Raymond ndong Sima reste le seul et le premier parmi les anciens premier ministre qui a su se préserver d’une bordélérie politique ou d’un manque de politesse a l’égard du peuple. Sa nomination est le vœux de la majorité du peuple gabonais. Espérons que cela fasse école pour tous les prochains membres du gouvernement….